« Ce qui s’est passé me hante, j’y repense sans cesse, j’en fais des cauchemars… »
« Je souffre, j’ai peur tout le temps, je m’énerve pour un rien, je suis sans cesse au bord des larmes, je me sens sous pression, je porte une tristesse incessante… »
« Je ne ressens plus rien, je suis déprimé-e, plus rien n’a de sens… »
LES EMOTIONS, ON EN VIT TOUT LE TEMPS …
Parfois heureuses, parfois malheureuses, elles font partie de notre quotidien.
Mais souvent, on ressent fortement celles qui sont douloureuses… Et parfois on aimerait bien s’en débarrasser 😉
Alors, on essaye tout plein de choses. Rationnaliser. Attendre que ça passe. Tenter de se calmer.
On a essayé plein de techniques de gestion ou d’apaisement des émotions, allant du coaching à la relaxation.
… ET SI LES EMOTIONS AVAIENT UNE FONCTION ?
Les émotions douloureuses surviennent généralement juste après un évènement douloureux. Et si c’était pour nous aider à nous en remettre ?
Peut-être qu’en laissant s’exprimer nos émotions, en laissant couler les larmes, jaillir les cris et les rires, etc. ces émotions s’apaiseraient ? Et que la douleur s’apaiserait elle aussi ?
C’est en tous cas ce que propose la thérapie émotionnelle.
Je la pratique pour moi-même depuis des années et j’ai accompagné de nombreuses personnes dans ce processus. Et je peux vous dire, c’est vraiment utile. Et en plus, c’est vraiment bon 😉
Exprimer ses émotions, c’est si bon !
Quels sont les problèmes que la thérapie émotionnelle peut vous aider à résoudre ?
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1. Si vous vous sentez prisonnière ou prisonnier de souffrances passées.
Quand on vit une souffrance, si on ne l’évacue pas, celle-ci laisse des marques. On se met à avoir peur dans des situations similaires, on fait des cauchemars, on ne dort plus, etc.
C’est ce que l’on appelle communément un traumatisme. Il n’y a pas besoin que la situation ait été « grave » pour cela.
Libérer ses émotions juste après un choc, quand on est en sécurité, est sûrement l’un des meilleurs moyens d’éviter la création d’un tel trauma. Je peux personnellement en témoigner pour plusieurs événements notables de ma vie : un incendie par foudre, un épisode de violence conjugale, un accident en kayak, une agression sexiste en voiture, etc.
Quand le trauma est ancien, il est toujours possible de revenir dessus en séance, et d’aller progressivement vers une rémission. J’en ai également l’expérience personnelle pour plusieurs éléments de ma vie : un abus sexuel, des disputes de couple répétées, une honte de moi-même suite à du désamour, des complexes sur ma beauté, des peurs professionnelles, etc.
Ces événements redeviennent alors de simples pages de notre histoire, que l’on a pu tourner.
2. Si vous êtes très émotif-ve
« Moi je suis une vraie Madeleine »
Il y a des gens qui ont un tempérament émotif. Les larmes débordent. Tout le temps. Pour un oui ou pour un non, pour quelque chose ou pour un rien.
Il y a aussi des périodes de la vie comme cela. On se met à avoir envie de pleurer très souvent et on ne comprend pas pourquoi.
Ces personnes-là me disent parfois : « Non mais moi je n’ai pas de problème avec le fait de pleurer, je pleure tout le temps ! »
Sauf qu’il y a une grande différence entre le fait d’être sans arrêt au bord des larmes, et le fait d’encourager l’expression de tout ce qui a besoin de s’exprimer.
On plonge, et après on ressort.
Et à force de plonger, la piscine finit peu à peu par s’assécher. Elle ne passe plus son temps à déborder.
Car dans le cas de l’émotivité, si des larmes surgissent à tout bout de champ, c’est qu’il y a eu une accumulation. La coupe est pleine, et elle déborde. Elle déborde parce que nous avons vécu des choses douloureuses, beaucoup de choses douloureuses, et que nous n’avons pas pu exprimer la détresse que cela nous a fait.
Et la détresse veut sortir, pour que nous puissions aller mieux. Alors n’importe quel prétexte est bon : la fin triste du film romantique, le verre brisé, cette clef qu’on ne retrouve pas, quelqu’un qui nous demande gentiment : « est-ce que ça va ? »…
Chez les enfants, cela s’appelle le syndrome du biscuit cassé. Pour en savoir plus, vous pouvez lire cette page.
Chez les femmes et chez les hommes, l’émotivité a également tendance à se manifester différemment. Chez les femmes, cela va plus souvent être par les larmes ; chez les hommes, par la colère.
C’est que l’éducation genrée nous incite à nous orienter vers différents types d’émotions selon notre sexe. Pour autant, le processus est le même, et le fait d’exprimer l’émotion présente à ce moment-là fonctionne. Si une autre émotion se trouve également en-dessous, elle ressortira plus tard dans le processus, c’est tout.
Au final, libérer régulièrement des émotions permet d’apaiser petit à petit son émotivité, tout en conservant sa sensibilité.
3. Si vous vivez des bouffées de colère
Quand je me suis mariée, j’ai découvert ce que c’était que d’être en colère. J’ai vécu plusieurs épisodes de rage intense, où je ne savais plus trop quoi faire de moi-même à part me mettre la tête dehors dans le froid de l’hiver. Ca marchait 30 secondes, et puis ça recommençait. Une fois, je me suis mise à hurler sous ma douche, complètement hors de contrôle. Paniquée d’avoir fait cela, je me suis arrêtée au bout de deux ou trois cris, en espérant que cela ne recommencerait plus jamais 😉
Beaucoup de personnes vivent également ce genre de situations avec leurs enfants.
Or, notre conjointe, notre conjoint, nos enfants, ce sont des gens que l’on aime, non ? On ne voudrait pas exploser de colère contre elleux et leur faire potentiellement du mal…
Mais si nous ressentons de l’agressivité, c’est qu’auparavant nous avons été blessé-e. La plupart du temps, nous avons été agressé-e sur le même sujet par le passé, plus ou moins de la même manière. Reproduire cette violence sur quelqu’un d’autre (en général quelqu’un de plus faible que soi) est alors une tentative inconsciente de se réparer. Malheureusement cela ne fonctionne pas, et crée d’autres blessures chez autrui.
C’est pourquoi on peut aussi faire le choix d’aller exprimer cette agressivité dans une séance. Cela peut permettre d’évacuer notre passif, tout en brisant la chaîne de reproduction de la violence.
Et cela peut donc être un cadeau, à la fois pour soi-même, et pour les gens qui nous entourent…
Pour autant, il y a aussi besoin de se positionner dans la vie, pour changer ce qui a besoin de l’être ! Pour en savoir plus sur le lien entre positionnement et décharge, c’est par ici.
Par ailleurs, si les blessures passées jouent en rôle dans notre violence actuelle, cela ne nous en dédouane pas ! De plus, d’autres facteurs, comme les croyances sociétales, entrent également en jeu. Pour en découvrir davantage sur le sujet, vous pouvez par exemple aller par là : croyances misogynes et violences sexuelles ; croyances autoritaires et violences éducatives ordinaires.
4. Si vous êtes déprimé-e
Longtemps, j’ai été déprimée. Je n’avais plus d’énergie, j’avais l’impression d’être amorphe, et j’avais des pensées noires qui tournaient en boucle dans ma tête.
« Je suis nulle, je suis nulle, je suis nulle… »
Comme un mantra malsain.
Plusieurs choses m’ont aidée à en sortir.
Mais ce qui m’a aidée à ne pas y retomber, c’est quand j’ai compris que la déprime est très souvent liée à des émotions non exprimées.
Alors maintenant, si je ressens un tout début de déprime, je cherche ce que j’ai pu refouler comme ressenti, et je l’exprime.
Et je peux vous dire, c’est radical ! 😉
Quand la déprime est installée depuis plus longtemps, plusieurs séances sont évidemment nécessaires, parce que cela procède souvent d’une accumulation. Mais il est toujours possible de revenir sur les événements marquants du passé, d’en parler, et de laisser émerger les émotions qui auraient envie de remonter. Et les ressentis douloureux s’apaisent alors, et se transforment…
5. Si vous êtes stressé-e, anxieux-euse
Un jour, je me suis retrouvée à devoir rénover une maison. Moi, une toute jeune femme. Qui n’y connaissait rien.
Contacter les artisans me faisait peur. Avoir l’air d’une godiche me faisait peur. Etre face à eux physiquement et discuter le bout de gras avec eux me faisait peur.
Et puis aussi, bien sûr, les enjeux financiers. La peur de dépenser, la peur de perdre.
Exprimer mon stress physiquement, comme n’importe quelle autre émotion, m’a été salvateur dans ces situations. Trembler, courir, haleter. En pensant et en verbalisant ce qui me faisait peur.
Et au fur et à mesure, j’ai traversé la plupart de ces angoisses.
Je me suis rendue compte que les artisans n’étaient pas si effrayants. Je les ai même, pour la plupart, trouvé très inspirants, par la tranquillité qu’ils dégageaient. Je me suis moins affolée, quand un problème survenait, et j’étais plus disponible pour la recherche de solutions. J’ai pu apprendre, beaucoup, et être disponible pour ces apprentissages.
Et quant aux enjeux financiers… eh bien, d’exprimer mes peurs a tout simplement permis que cela ne reste pas des marques traumatiques en moi. Les pertes ont pu s’intégrer dans ma psyché selon la formule populaire « plaie d’argent n’est pas mortelle ». Réellement, sans que je passe des heures à essayer de m’en convaincre sans trop y croire.
De nombreux stress ou anxiété peuvent ainsi être apaisées voire résolues grâce à l’expression émotionnelle.
Pour autant, certaines situations nous génèrent de l’anxiété car elles sont réellement malsaines pour nous (je pense aux relations toxiques notamment). Dans ce cas, décharger peut être utile, mais il est important également de sortir de la situation, sous peine d’épuisement.
Je suis également passée à travers ce piège, et je sais à présent le repérer, pour aider les personnes qui viendraient me consulter à faire la distinction.
Les fruits secondaires de la thérapie émotionnelle
Quand on exprime régulièrement ses émotions, cela apaise notre ressenti sur le moment et sur le plus long terme. Mais cela apaise également d’autres choses, au fur et à mesure. Ce sont les fruits secondaires de la thérapie émotionnelle.
- Un mental apaisé, qui ne tourne plus sans cesse
- Un corps apaisé, qui n’est plus aussi tendu
- Une plus grande disponibilité à la beauté de la vie
Vers un mental apaisé
Par moments, nos pensées tournent dans notre tête, et nous n’arrivons pas à les arrêter. C’est parfois douloureux, oppressant, ou tout simplement, ça nous empêche de dormir.
- « Il faut que je fasse ça, ça, ça, et encore ça… Aaah, comment est-ce que je vais y arriver ??… »
- « J’ai dit ça, et après elle a fait une moue désintéressée… Qu’est-ce qu’elle a pensé ? Est-ce que j’ai fait quelque chose qui n’allait pas ? »
- « Il me demande ça, et je n’ai pas envie, mais je ne veux pas être blessante… Je ne sais pas comment lui dire !!… »
- « Je suis nulle, j’ai encore tout raté, c’est de ma faute… »
- « C’est vraiment un salaud, il m’a fait ça, ça, et ça, et ça… »
Affolement de ne pas pouvoir accomplir sa to do liste en entier ; peur du rejet ; culpabilité et hésitation ; auto-dévalorisation ; colère et rancœur contre une compagne ou un compagnon… La plupart de ces pensées sont corrélées à des émotions.
Si l’on censure l’expression émotionnelle, la voie de sortie pour ces ressentis douloureux est bloquée. Or, notre organisme n’est pas fait pour rester indéfiniment dans le mal, et il va donc continuer à chercher à résoudre le problème. Et qu’est-ce qu’il reste, quand les émotions son bloquées ? Le cerveau. Celui-ci va donc tenter, avec ses moyens qui sont les pensées, de nous faire sortir de cette situation douloureuse. Mais comme il est outillé pour résoudre des problèmes et non pour apaiser des souffrances, cela est la plupart du temps peu efficace. Et l’on se met à penser de plus en plus. Et nos pensées tournent en rond.
En verbalisant les pensées et en exprimant les émotions associées, la plupart du temps, les ressentis s’apaisent, et les pensées se clarifient. De plus, après quelques années de pratique, un apaisement plus long terme du mental s’opère : il y a moins de pensées, et celles-ci tournent plus lentement… 🙂
Vers un corps apaisé
Dos, sommeil, respiration
Tous les jours, j’avais mal au dos. Je faisais des étirements, je me disais que c’était à cause de la position assise, du fait que je n’étais pas assez sportive, et du fait que j’avais une scoliose. Pour ce dernier point, je ne pouvais donc apparemment rien y faire.
Et puis j’ai découvert la pratique de l’expression émotionnelle. Je me suis mise à « décharger » sur tout un tas de sujets de ma vie. Et la douleur au dos s’est peu à peu estompée.
Par ailleurs j’avais quelques problèmes de sommeil. Je dormais beaucoup, mais ce n’était pas récupérateur. De plus je mettais parfois longtemps à m’endormir, et je pouvais avoir beaucoup de rêves ou des cauchemars, ainsi que du bruxisme.
De la même manière, je me suis rendue compte qu’après les séances, mon sommeil était plus apaisé. Et qu’au bout de plusieurs séances. il était devenu plus profond. Au bout d’un certain temps, je me suis également mise à avoir besoin de dormir moins longtemps, et à pouvoir faire des siestes, ce qui n’était pas le cas avant.
Pour autant, je ne dis pas que cette approche peut résoudre tous les problèmes de sommeil, ou de dos. Cela dépend de si les problèmes physiologiques en question viennent d’émotions non exprimées. Si c’est le cas, le fait d’exprimer des émotions permettra de se rétablir à ce niveau. Et si ce n’est pas le cas, c’est d’autre chose dont nous aurons besoin, voilà tout.
Par ailleurs, à un moment donné de ma pratique, ma respiration s’est débloquée. Auparavant, je ressentais une oppression thoracique, spécialement quand je voulais me détendre. Depuis, si je sens encore certains de ces blocages, j’ai maintenant accès à une respiration ample et agréable quand je le désire, ce qui m’a ouvert les portes de la relaxation… 🙂
Enfin, il est fréquent de ressentir des tensions ou douleurs dans le corps sans raison médicale identifiée. Pour ma part, la plupart de ces tensions corporelles internes se sont libérées après un certain temps de pratique des expressions émotionnelles, et je vis maintenant un confort dans mon corps que je n’aurais jamais envisagé.
Pour autant, il est très important de toujours examiner nos douleurs corporelles au niveau médical d’abord, afin de ne pas risquer de passer à côté d’un diagnostique important.
En aucun cas, mon approche ne saurait remplacer un traitement médical ou se substituer à l’avis d’un professionnel de santé. Nous avons souvent besoin de plusieurs approches pour nous aider. Travaillons en harmonie les uns les unes avec les autres, et privilégions notre sécurité.
Vers plus de disponibilité
Quand on est préoccupé-e, on n’est plus disponible. On n’arrive pas à avoir envie de jouer avec ses enfants, on ne chantonne plus, on n’arrive plus à goûter la beauté de la nature…
Après avoir exprimé ce qui nous pesait, au contraire, un allègement se produit. C’est comme si on se ré-ouvrait au monde, et qu’on avait de nouveau envie du monde. La nature nous saute aux yeux par sa beauté. On a de nouveau l’élan de bisouiller son enfant. Le sifflotement revient spontanément à nos lèvres…
Je crois que je me souviendrai toujours de ce jour de pluie où, après avoir pleuré profondément une bonne heure durant, ma fille de 7 ans est venue me voir. J’étais lavée, et tellement heureuse de la retrouver. Nous nous sommes prises dans les bras, elle est passée sous mon poncho, comme si elle revenait dans mon ventre. Nous avons pris un grand parapluie couleur arc-en-ciel et je l’ai portée en marchant sous la pluie, longtemps. On se retrouvait, complètement.
Se sentir plus heureux, plus heureuse,
plus vivant-e
apaisé-e
disponible.
Nadège raconte comment elle a découvert la thérapie émotionnelle et ce que cela lui apporte aujourd’hui au quotidien.
Pourquoi j’aime accompagner la libération émotionnelle
Cela peut être très beau, les larmes.
C’est si puissant, de voir monter tout ce qui est dedans.
On est sur le fil, avec la personne au plus près d’elle-même.
C’est quelque chose que j’aime profondément,
… voir une personne se libérer de sa souffrance,
… et voir ensuite cette sorte de lumière, cette beauté profonde, qui traverse son visage, apaisé.
Lieux de consultation en thérapie émotionnelle
Saint-Girons (Ariège 09)
Un jeudi sur deux
Le cabinet de Saint-Girons, chaleureux et accueillant, est en centre-ville, au cœur des rues piétonnes et surplombant la rivière.
Alzen (à 20mn de Foix, Ariège 09)
Le reste du temps
La belle pièce du cabinet d’Alzen a l’avantage d’être bien isolée phoniquement, ce qui permet d’être plus à l’aise pour l’expression émotionnelle. Ce cabinet offre également un cadre extérieur de nature beau et soutenant, très favorable à l’intégration des séances.
Distanciel
Téléphone ou visio
De plus en plus, les séances de thérapie à distance sont proposées par visio. Cela permet en effet de se voir, et d’avoir accès à tout le paraverbal. Cela peut être important, au moins lors d’une première séance, pour se rencontrer.
Pour autant, à part pour cette première séance, je propose pour ma part plutôt le téléphone que la visio.
En effet, l’absence d’écran actif est plus favorable à l’épanchement émotionnel. Cela facilite le fait de fermer les yeux, de peut-être s’allonger, de se concentrer sur soi-même. Et au final, cela permet donc davantage de laisser émerger ce qui est là.
Format des séances en Thérapie Emotionnelle
Séances programmées
Le format de base des séances est celui d’un rendez-vous programmé, en présentiel ou en distanciel, comme chez n’importe quelle thérapeute.
Cela permet la présence corporelle, et tout ce qui passe par le non verbal. Cela permet également souvent d’aller explorer des zones de nous-mêmes que nous n’aurions pas forcément été explorer autrement, si nous n’avions pas pris ce temps.
Séances spontanées
Pour ma part, je propose également la possibilité de séances spontanées en distanciel. C’est-à-dire la possibilité de m’appeler au moment où vous vous sentez mal.
En effet, au moment où l’on se sent mal, il est souvent plus facile d’accéder à l’émotion. Et surtout, la libération est souvent beaucoup plus rapide et efficace. On est complètement dedans, on plonge, et on en ressort lavé-e.
Parfois, de ce fait, la séance n’a pas besoin de durer une heure. Je propose donc dans ce cas une tarification au prorata du tarif horaire.
Si je suis disponible, je répondrai, et nous pourrons faire la séance dans la foulée.
Si je ne suis pas disponible, j’éteindrai mon téléphone, ou je ne répondrai pas. Vous pouvez donc m’appeler en toute sérénité en sachant que vous ne me dérangerez pas. Et dans ce cas, je vous rappellerai ensuite pour reprogrammer une séance… 😉
Au plaisir de vous rencontrer !
Honorine
Tarifs
Faibles revenus (en-dessous de 1.000 €) : 40 €
Revenus moyens (entre 1.000 et 2.000 €) : 60 €
Revenus supérieurs : 90 €
Envie
de commencer
à vous décharger
de vos bagages de souffrances ? Appellez-moi 🙂
Vous êtes tenté-es d’essayer mais quelque chose vous retient ou vous fait peur ?
C’est normal d’avoir peur d’exprimer ses émotions, toute la société nous pousse à les retenir !
Pour en savoir plus, allez voir par là 🙂
Témoignages
⭐⭐⭐⭐⭐
Je fais de la thérapie émotionnelle depuis 2 ans avec Honorine. La dernière fois que j’ai eu recours à cette thérapie, c’était après avoir croisé mon ex-compagnon par hasard à un évènement. Je me suis sentie agitée après, je ne dormais plus. La thérapie émotionnelle m’a permis d’accueillir les souffrances vécues lors cette relation. J’ai pu mettre des mots que je n’avais jamais mis auparavant sur ces souffrances, laisser la colère et la tristesse s’exprimer. Grâce à cette séance, j’ai trouvé une clarté sur ce que j’ai vécu et de l’apaisement. J’ai enfin retrouvé le sommeil et de la disponibilité pour le reste de ma vie. Merci de tout cœur Honorine ! Nadège
⭐⭐⭐⭐⭐
Je me suis senti accueilli. Mes émotions étaient bienvenues, même la tristesse et la colère.
Une expérience rare.
X.V.
⭐⭐⭐⭐⭐
Je recommande vivement Honorine pour son engagement, sa transparence, sa bienveillance, sa clarté au service de la vie et de l’humain. Merci encore !
Gustave Green